Deux récentes études de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) montrent que certaines parties de la Région européenne continuent de faire face à des taux élevés d’obésité infantile, et que les bébés qui n’ont jamais été nourris au sein ou très rarement ont plus de risque de devenir obèses.
«Pour grandir en bonne santé, ne pas trop rester assis et jouer davantage»: les nouvelles lignes directrices de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur l’activité physique, les comportements sédentaires et le sommeil de l’enfant de moins de cinq ans ont été élaborées par un groupe d’experts de l’Organisation qui ont évalué les effets qu’avaient sur le jeune enfant le manque de sommeil et le temps qu’il passe assis devant un écran ou attaché à son siège ou dans sa poussette.
Un enfant sur sept pèse moins de 2.5 kg à la naissance, selon une étude que vient de publier le Lancet, coréalisée par la London School of Hygiene and Tropical Medicine, l’UNICEF et l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ceci concerne les pays du monde entier et implique des répercussions sur la santé.
La plateforme pour l’équité femmes-hommes (Gender Equity Hub) co-animée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) vient de publier un rapport détonnant consacré à la problématique du genre et de l’équité chez les personnels de santé dans le monde.
A l’occasion du dernier congrès de la Fédération internationale de gynécologie obstétrique qui s’est tenu en octobre dernier, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a dénoncé la pratique abusive des césariennes à travers le monde et publié des recommandations visant à en limiter le recours.