En additionnant ces mesures aux 183 euros mensuels du Ségur de la santé, le gouvernement met en avant une « revalorisation nette de 500 euros par mois ». Mais le protocole ne satisfait pas tous les syndicats.
Des manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes d’Angleterre dimanche 21 novembre à l’initiative des sages-femmes pour dénoncer leurs conditions de travail, relate le Guardian.
Une étude suisse s’est penchée sur la manière dont les sages-femmes communiquent avec les femmes migrantes dont elles s’occupent pendant la période postnatale, via des services de messagerie instantanée tels que WhatsApp.
Selon le journal britannique The Guardian: «Des données suggèrent que les femmes allaitantes qui ont été infectées par le Covid-19 continuent à sécréter dans leur lait des anticorps neutralisant le virus jusqu’à dix mois après l’infection.»
La revue d’histoire suisse romande Passé simple a consacré son dossier d’octobre aux sages-femmes romandes.
« Ya pas que le périnée qui craque »: des milliers de sages-femmes, s’estimant « oubliées – méprisées », ont manifesté début octobre à Paris pour réclamer des effectifs supplémentaires, davantage de reconnaissance et une 6e année d’étude.
« On vient exprimer notre souffrance avant que la profession ne disparaisse » par manque d’attractivité, explique à l’AFP Marie Coudene Medico, sage-femme libérale à Montpellier, parmi les quelque 3.500 manifestants dénombrés par la police.
Toute future maman compte sur les compétences de sa sage-femme. Mais celle-ci a-t-elle besoin d’un doctorat? Vanessa Leutenegger est en train de passer le sien et explique pourquoi.
Les femmes avec déficience intellectuelle souffrent de multiples et constantes représentations négatives au sujet de leur intimité. Des évolutions sont essentielles pour que leur santé sexuelle cesse d’en pâtir.
Première en Suisse romande, une banque de lait maternel va ouvrir début 2022 au CHUV à Lausanne.
Allaitement et féminisme sont-ils compatibles? C’est à cette question très actuelle et résonnant particulièrement avec le slogan de la semaine mondiale de l’allaitement en Suisse cette année («Protéger l’allaitement, une responsabilité partagée»), que la revue Nouvelles questions féministes consacre son dernier numéro.