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Le Temps
Une banque de lait maternel sur les réseaux

Approuvé à l’unanimité par le Grand Conseil genevois, le premier lactarium romand devrait voir le jour en 2022. En attendant sa création, des centaines de femmes offrent (ou vendent) du lait à celles qui en manquent, principalement via Facebook. Quand il se vend sur les réseaux sociaux, le lait maternel peut atteindre des prix astronomiques. 

Dès l’année prochaine, la première infrastructure romande doit s’organiser en partenariat avec le CHUV et les HUG.Une décision qui doit venir drainer la forte demande existante sur les réseaux sociaux. Plusieurs groupes Facebook sont actifs dans l’échange de lait maternel. Le plus important compte 1400 membres, pour la plupart des mères en manque ou en surplus de lait. Si la plupart des échanges s’y font gratuitement, certains se monnaient au prix fort: 200 francs pour 100 ml, à peine de quoi remplir un biberon.

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